Chapais

CHAPEL dit CHAPAIS achevé

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Enfin, la page de la Généalogie de la famille MURIS, longue et complexe, est complétée. On peut y accéder du tableau d’ascendance sur la Page principale de Jean CHAPEL.

Bonne lecture,
Denis

Autres ajouts

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La revérification des sources est fortuite encore une fois. Gabriel Chapel qui se déclare déjà navigant en 1763 à son mariage, alors que sa notice maritime ne commençait qu’en 1766. La vérification de Henri Yon (Bonnes vacances!) dans les dossiers des novices vient combler cette lacune. Ce cousin remué de germain de l’ancêtre a donc, comme son frère, participé à la guerre de Sept Ans (Guerre de la Conquête au Canada/French Indian War aux É.-U.), pendant son service militaire dans la marine avec le Régiment de Dunkerque en 1763. Il poursuivra la pêche dès la paix revenue sur la pointe nord de Terre-Neuve où la France revendique toujours des droits de pêche. Au désarmement du Pierre Marie en 1765, le navire ne semble avoir été armé d’aucun canon.

Du côte de Les Cresnay (50152)

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Je cherche toujours le problème des liens...

Hier soir, j’ai revu et augmenté la page principale de
Jean CHAPEL, en ajoutant une section sur le lieu supposé d’habitat de notre immigrant. Comme je l’y indique, ce lieu-dit fait plutôt partie de la paroisse de Saint-Pierre de Les Cresnays (50152) voisin de Brécey.

Bien que la famille semble plutôt habituée à fréquenter Saint-Martin de Brécey quand vient le temps des sacrements, je me penche aujourd’hui du côté de Les Cresnays au cas où il ne s’y trouverait pas quelques actes perdus. Pour l’instant, ils brillent par leur absence.

CHAPAIS et la suite

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La page de la généalogie de la famille CHAPEL est maintenant complétée ici. Il ne reste qu’à compléter les pages plus brèves des généalogies des familles MURIS LUCE et BRÉHIER. Les Muris, et surtout les Bréhier semblent très anciens dans la région puisque en plus d’être nombreux, il y a même des mariages Muris-Muris et Bréhier-Bréhier sans dispenses de parenté.

Pour la suite, je vais reprendre l’étude des familles affiliées LESCOUFLE, DAUPHIN, GUILLOUËT et BIGOT, puis amorcer la page de Aubin LeCouffe/LeGouffe. Cet immigrant gaspésien – ou déserteur selon la Marine – n’a laissé aucune trace à ma connaissance en Nouvelle France avant la mention de sa veuve au recensement DuCalvet de 1761. Ce sont les efforts acharnées des collaborateurs chez MIGRATIONS.FR, leurs dépouillements des rôles des navires en partance de Granville, et le zèle de Henri Yon (merci à tous!) qui viennent pallier aux lacunes de nos sources.

Et plus mystérieuse encore, son épouse Louise BOUDEAU, qui serait peut-être issue d’une famille métissée. Elle fera l’objet d’un prochain ancestroglogue, mais j’aimerais déjà lancer un appel à quelques descendants matrilinéaire (l’enfant d’une fille à une fille (...) à Louise Boudeau (et de Marie Boudeau m Jean Chicoine qu’on croit sa soeur), ou encore un coup de main à en retracer. Avec un simple test d’ADN mitocondrial, on pourra trancher si la mère des Boudeaux est Européenne ou Amérindienne. [NDLR Question résolue 2011]

Les CHAPAIS - primeur

Comme je reprends des fouilles de toutes sortes, j’ai décidé d’enfin publier un petit blogue sans prétention pour faire état des dernières découvertes, ou simplement pour livrer mes états d’âme sur les recherches en cours. J’espère en même temps offrir, avec des exemples, des pistes et des techniques de recherche aux néophytes de la généalogie.

Grande primeur, je viens de mettre en ligne un premier site parmi mes Normands marins-pêcheurs qui décident de s’établir en Nouvelle-France au début du XVIIe siècle. Les percées de ce côté sont le fruit de l’effort d’équipe des collaborateurs du site
Migrations.fr qui ont complété le dépouillement des navires de Granville (port des morutiers normand) sur cette période, et au-delà.

On y découvre des carrières de matelots chez plusieurs ancêtres immigrants qui n’ont jamais fait l’objet d’études sérieuses. C’est donc tout un pan d’histoire qui s’ouvre à nous, car ces listes (et leurs sources complémentaires) expliquent dans nombreux cas quand, comment et pourquoi nos ancêtres ont décidé de s’établir «en» Canada. Donc je vous invite à découvrir l’ancêtre Jean CHAPEL (CHAPAIS), dont je suis à compléter la section généalogique.