Consolidation terminée

Comme iWeb a été abandonné par Apple, j'ai du consolider tout la section «Migration» qui y avait été construite. Toutes mes pages sont donc maintenant consolidées sous les mêmes onglets.

Une famille particulière est en principe joignable en ajoutant le nom à la souche du présent site, soit http://savart.info/famille/ sans majuscule pour atteindre sa page principale. Les fiches familiales des aïeux sont aussi accessible en ajoutant le nom et numéro Sosa-Stradonitz correspondant, soit http://savart.info/famille/famille16/.

Reste à compléter la famille CANUEL dont les fiches n'avaient jamais été complétées sur l'ancienne section. Et de reconstruire les pages initiales pour les familles de Montreuil, pour leur ajouter un tableau dynamique comme les familles étudiées récemment, pour joindre les fiches familiales plus facilement.

Ce qui manquait à RapidWeaver, était ce plug-in Stacks qui lui donne une puissance similaire à ce que iWeb offrait. Je vais maintenant m'affairer à contacter les sites référants qui auraient des liens désuets.

Reste aussi à augmenter les pages des MacINTYRE, maintenant que mon article à leur sujet est paru dans les Mémoires (cahier 282, Hiver 2014).

Bon furetage.

Denis Savard

BOUDEAU: fausse piste


J’ai poursuivi pendant plusieurs semaines la famille de Pierre Boudeau, natif d’Amboise (Indre-et-Loire), maître cloutier de Rochefort, et sa femme Anne Tardy, mariés le 18 août 1698 dans la paroisse de Saint-Louis de Rochefort.
Le 4 février 1720, devant le notaire Tardy, David Got de Gotteville Belisle, - qui dirigera la nouvelle colonie de l’île du Prince-Édouard, par l’entremise de la Compagnie de l’île St-Jean - engage Pierre Boudeau, 43 ans, sa femme Anne Tardy, leur fille Marguerite 14 ans, et leur fils Jean 10 ans (qui aurait pu être le feu habitant de Barachois de La Malbaye de 1760), pour travailler trois ans au service de la compagnie en ladite île.

Je croyais avoir trouvé là le père de Marie et
Louise Boudeau, à condition que Anne Tardy décède vers 1722 et que Louise naisse vers 1723 ou 1724 d’une mère autochtone. Il aurait pu se rendre de l’île vers la seigneurie de Lefebvre de Bellefeuille en Gaspésie à cette époque. Mais il fallait d’abord s’assurer que la famille ne soit pas retournée à Rochefort après leur engagement en 1723, comme prévu au contrat.

Dès la fin des termes du contrat, le compagnon cloutier Gabriel Brunet, qui s’était engagé avec sa femme Catherine Naulaud dans les mêmes circonstances, est déjà de retour à Rochefort en novembre 1723 pour la naissance de leur fille Marie.

Après un examen minutieux des baptêmes (dont les parrains et marraines), mariages et sépultures, ce n’est qu’en 1727 que la famille Boudeau-Tardy donne signe de vie après leur retour à Rochefort. C’est leur fille Marguerite qui apparaît la première comme marraine en 1727, nommant son père Pierre Boudeau cloutier.

Il faut encore attendre à 1742 pour la prochaine mention lors de mariage de Jean Boudeau à Marie Anne Robert, toujours dans leur paroisse d’origine, Saint-Louis. L’année suivante, c’est Marguerite, alors âgée de 38 ans, qui épouse Jean Peluchon, veuf de Marie Martin.

Ce Pierre Boudeau ne peut donc pas avoir engendré les Boudeau de la région de Percé mentionné au recensement de du Calvet en 1760, puisque Anne Tardy, native de La Rochelle (donc pas une autochtone), est toujours vivante en 1742 et 1743 comme son mari. Ils demeurent alors toujours à Rochefort.


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SAVARD: Nettoyage et Dépoussiérage


L’ajout de la découverte de la filiation de Jean Savart le charron il y a deux ans a, de toute évidence, été fait en vitesse. Je me relis aujourd’hui et y trouve des phrases complètes qui auraient dues être supprimées. La compréhension devait y être très difficile, mes excuses.

Donc j’en profite aujourd’hui pour nettoyer tout cela, en ajoutant du même souffle les détails sur le mariage de Nicolas Lablanche, neveu de Jean Savard. Voir les pages de
Jean Savart charron (fils) [compromis de 1604] comme sur celle de Jehan Savard écrivain-soldat (père) [testament de 1565], pour une présentation plus claire et concise.

J’ajouterai sous peu un nouveau contrat de charronnerie par Jean Savart de 1595, que les plus curieux pourront retrouver dans la Salle d’inventaires virtuelle du Caran, en attendant. J’espère obtenir la copie de cet acte pour y découvrir une troisième marque de la main de l’ancêtre, plus ancienne que les autres affichées sur sa page. Et peut-être d’autres détails avec de la chance. Celle de l’image ci-jointe date de 1604.

J’ai beaucoup de révision à faire sur mes pages, mais le temps me manque. Donc, excusez en attendant les fautes et coquilles qui restent nombreuses.


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SAVARD: un 2e lit découvert


Je tiens à remercier René Connat pour le tuyau puis le personnel du Caran qui ont fait un superbe travail d’intégration d’inventaires de collections dans leur nouvelle Salle d’inventaire virtuelle accessible ci-dessus. Quelques petites recherches, et nous voilà riches d’au moins trois nouveaux documents concernant la famille Savart, de la lignée du migrant Simon Savard le charron.

Nous débutons aujourd’hui avec la trouvaille la plus intéressante, la découverte du deuxième lit de
Simon Savart père, veuf de Marguerite Vinante décédée en 1629. Cette nouvelle alliance explique d’ailleurs pourquoi Simon déménage famille et pratique de la rue Cuve du Four vers La Pissotte devant le Château de Vincennes. Il améliore sa situation prenant possession de l’atelier de charron situé à proximité de l’entrée du château, jouissant de l’achalandage des nobles et militaires qui le fréquentent. Car il épouse la veuve du charron Godefroy Gallier, que l’on connaît par ailleurs pour avoir vendu un tronc de noyé à Quentin Hordouille quelques années plus tôt (voir cette page).

On découvre donc que Diane CERTEL, d’une famille de menuisiers, donnera à Simon Savart père deux enfants supplémentaires, dont la destinée reste, outre leurs baptêmes, inconnue. Voici la notice qui permet de faire le lien entre ces deux familles. Il n’existe en 1645, entre Montreuil et La Pissotte (auj. à Vincennes), que deux Simon Savart charrons, soit le père et le fils.

Salle des inventaires virtuelle
Cotes
MC/ET/XIX/432
Description
MENUISIER apprentissage § Mise en apprentissage, durant 4 ans de Rouger GALLIER, âgé de 19 ans, fils de Godefroy Gallier Charon à la Pissotte et Diane CERTAINE (sic, pour CERTEL) sa veuve épouse en seconde noce de Simon SAVART, Charon à la Pissotte chez François CERTEL, maître menuisier rue Cloche Perce paroisse Saint-Paul 

24 août 1645

Origine de l'information :
Artisans XVIIe, par M. Jurgens, M.A. Fleury, R. Gourmelon et le personnel du Minutier central, 1954-1996 (fichier papier entièrement dématérialisée ; voir contexte dans le Plan d’orientation général - Notaires de Paris, guides thématiques du Minutier).
Date de révision: 2011-2012
Date de création de la notice :2010
[Cliquez ici] pour accéder à tous les nouveaux détails à la famille de Simon Savart père, lien dirigé sur le paragraphe mis à jour, suivi de quatre nouveaux.

Denis Savard (9.2.2014)

Jacques Bois né BOYER

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Je débute la construction des pages des ancêtres de Jacques BOIS, soldat de la Marine, qui épouse à Rivière-Ouelle Anne Soucy en 1704.

Originaire de Poitiers, fils de René Boyer & Renée Boyer, son père opte rapidement pour changer son nom à Bois, peut-être pour se distinguer de son épouse, ou d’éviter des commentaires désobligeants. Pourtant, ce sont des familles originaires de villages bien distants l’un de l’autre.

En attendant de détailler toutes les familles, les tableaux de la page principale du migrant Jacques BOIS né Jean Boyer. Bonne lecture.

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Périple écossais

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Je sors de mon mutisme qui dure depuis plusieurs mois, maintenant que mon étude sur les MacIntyre de Charlo se conclut. Du moins, la version papier, car il reste beaucoup d’informations à leurs sujets à publier en même temps et en complément au texte soumis ce jour aux Mémoires, dans la nouvelle année.

Le texte des Mémoires se limite à la problématique de l’identification de la famille de Neil McIntyre & Marguerite MacKenzie comme la fondatrice de la branche restigouchoise. Manque d’espace, toutes les informations à propos de l’ascendance possible, de leur lieu d’origine, du patrimoine génétique, etc., seront traités dans ce portail. La démonstration des preuves documentaires traitées dans l’article des
Mémoires (Hiver 2015, pp 303-322) ne sera pas reprise ici, mais simplement résumée.

Mon voyage dans leur pays a été très enrichissant, me permettant de me baigner dans la culture de ces insulaires millénaires. Riche cours accéléré sur l’histoire des Hébrides et des Écossais des Highlands. On oublie trop facilement que ce peuple a beaucoup plus en commun avec les Canadiens-français et Acadiens que l’on peut puisse imaginer. Jusqu’à 1746, la France et l’Écosse formaient toujours la «
Aulde Alliance», ou Vieille Alliance contre la couronne britannique. La garde personnelle du roi de France était écossaise, jusqu’à la Révolution.

La matriache Savard: Greneust ou Greusse?


Un petit acte oublié nous donne une nouvelle mention de la matriarche du clan Savard canadien récemment découverte. Comme l’ancêtre Jehan SAVARD, soldat en morte-paye, est parrain de sa petite-fille adoptive Marie Lablanche en 1578, il faut s’attendre à ce que son épouse, la grand-mère de l’enfant, soit marraine au deuxième baptême du couple Lablanche-Carton, comme le veut la pratique souvent respectée à cette période, dans cette paroisse.

C’est effectivement le cas, le 3 mai 1579 au baptême de Nicolas Lablanche, à Montreuil, fils du serrurier du Château de Vincennes, Paul Lablanche et d’Hélaine Carton (soeur utérine de Jean Savart charron). Mais la graphie de son patronyme à cette occasion complique davantage le problème d’identification.

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Alors qu’on hésitait entre GRENEST et GRENEUST selon le testament de notre soldat-écrivain de 1565, le baptême de 1579 suggère plutôt GREUSSE (ou GREN[E]SSE?). Comme j’indique sur la page du couple Savard-Grenest, ce registre de 1579 fait partie d’une longue séquence de registres recopiés ultérieurement, donc les actes sont sujets aux erreurs de lecture par son transcripteur.

Page de Jehan SAVARD & Guillemette GRENEUST.

Guy Joseph Després 1, Ancestrologue 0

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Je dois m’avouer vaincu, après près de deux mois de recherches. Je peux cependant me réjouir d’un petit gain, soit la découverte du véritable village d’origine de la famille de Guy Joseph Després, arrivé de Bretagne au Cap-St-Ignace peu avant 1733.

À son mariage cette même année, l’époux qui a une dispense d’«étranger» (donc n’a pas rempli les 3 ans d’engagement habituels), se déclare originaire de Midria ou Medria, Evesché de Saint-Brieuc. À tort, certains auteurs ont cru - et l’erreur est facile - Médrignac en Côtes-d’Armor. Après avoir fait un examen de ces registres paroissiaux, il n’y existe aucune famille DESPRÉS, ni BOISGERAULT dans le secteur.

Pourtant, à 30 km à l’est, se trouve un autre village de la même consonance, en Ille-et-Vilaine.

Il ne fait aucun doute que la famille Després de l’immigrant Guy Joseph est plutôt originaire de Médréac, où les comtes de La Costardais tenaient un auditoire (tribunal et geôle). Un certain maître Michel Després y tenait l’office de greffier à la fin du XVIIe. Il ne semble n’y exister qu’une seule branche de cette famille, qui doit s’y établir vers les années 1660. Ils semblent tous apparentés, sans pourtant pouvoir y rattacher le père de Guy Joseph, Jan Desprez, comme l’on écrit le prénom alors dans la région.

On rencontre plus fréquemment à Médréac la famille Boisgérault/Boisgéraud, qui tire nécessairement son nom du hameau de la même commune, Le Bois Gérault, à 2,2 kilomètres (trajet en bleu) du centre du village.

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Outre son côté sud, les limites de Médréac épousent les limites départementales d’avec les Côtes-d’Armor.

Une chose est certaine, c’est que si Guy Joseph a évoqué en 1733 le village d’origine de sa famille, il ne semble jamais n’y être demeuré. Les registres de Médréac ont été examinés de 1653 à 1733, ainsi que les registres des paroisses dans un rayon d’environ 10km entre au moins 1705 et 1715, hors quelques rares années manquantes.

Je n’ay ai trouvé aucune mention du couple Jan Després & Françoise BoisGérault. Pas plus que les naissances des conjoints. Jan et Françoise ne sont jamais nommés dans les actes relatifs aux familles Després et Boisgérault. Et Guy Joseph ne semble jamais y avoir agit comme parrain avant son départ. Seule Françoise aurait une homonyme née en 1713. Jan a un homonyme, mais deux villages plus loin à Bédée (35), marié à Simone Deffains (Desfains), qui décède en 1702. Et c’est tout dans tout ce rayon.

Seuls quelques rapprochements ont autrement été remarqués:
- Quoique les prénoms doubles y sont toujours relativement rares, la famille de Pierre BOISGÉRAUD & Janne MOÜART donne naissance à un garçon prénommé Guy Joseph Boisgéraud né le 23 baptisé le 24 février 1669 à Médréac [AD35 Médréac 1669 p 7]. Il décède le 25 juin 1671.
- Très peu de gens savent signer à Médréac. La famille Després fait exception avec l’oncle(?) Me Michel le greffier – qui héberge d’ailleurs un clerc à son service Jullien Pellois. On sait que Guy Joseph Després sait signer comme il l’a fait à son mariage.

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Me Michel Després, «greffier à l’auditoire des comtte Costardaye à Medreac».

Pierre Boigéraud ci-nommé signe aussi d’une main moins habituée.

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Pierre Boisgéraud, m1 15.2.1667 Janne Moüart, m2 17.1.1673 Perrine Sicot.

Du côté des Boisgérault, il y a deux générations de jardiniers, soit Jan M2 1657, et son fils Olivier M1 1669, qui habitent au Bois Janou, soit le lieu nommé La ville Orient sur le plan ci-dessus.

Bien que l’on parle de «Bois», ces anciens boisés étaient déjà rasés dans la période qui nous concerne. Ce sont des terres cultivées à l’époque des Cassini.

Quel âge a Guy Joseph Després?
À son décès à Montréal, on déclare le défunt avoir 63 ans, en mai 1671. Cela le fait naître vers 1707 ou 1708. Si cette affirmation est juste, Guy Joseph serait à peine majeur à son mariage de 1733. Cela est peut-être douteux dans la mesure où Guy compte déjà sur son métier de taillandier, comme on peut imaginer qu’il a complété sa maîtrise. Il est cependant fraîchement arrivé, comme semble l’attester sa dispense d’étranger que lui accorde l’évêque de Québec. Il semble avoir certains moyens, comme il réussit à s’exempter du régime des engagés, étape normalement nécessaire pour l’établissement d’un nouvel immigrant. Je crois que l’on peut reculer sa date de naissance vers 1705 ou 1706.

On peut penser que le père de Guy Joseph a peut-être tenu office de greffier, s’il est parent du greffier de l’auditoire des comtes Costardaye. Ces charges ont peut-être forcé la famille à s’exiler périodiquement dans des villes plus éloignées, tout en gardant leur identité médréacienne?

Les registres paroissiaux de l’
Ille-et-Vilaine, et des Côtes-d’Armor sont disponibles sur les sites des Archives départementales respectives, si d’autres veulent étendre le rayon...

Denis J. Savard.

Marie PICHON: Filiation résolue

La curiosité acharnée de Annie Gaillandre porte encore ses fruits. Après avoir ciblé le contrat de mariage de Philippe PICHON avec Médarde Vacquemoulin.

Cet acte important vient clarifier la mention de Isaac Vimont «père grand» de Marie Pichon lors du cm de Marie avec Philippe Gaultier. En fait, il fallait comprendre «beau-grand-père», puisque ce Isaac Vimont est finalement le deuxième mari de la mère de Philippe Pichon: Marye PERIER.

Passez par la
Page des imprimeurs pour naviguer dans les nouveau tableaux, pour accéder aux fiches des familles en question.


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AnF/MC/Et/CV/118, photo A. Gaillandre

Noblesse découverte chez Jean-Louis CANUEL !

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Grâce au merveilleux site de Damien Rauline, qui catalogue une quantité impressionnante de documents concernant la famille noble normande De CAUMONT, dont les seigneurs de Gourfaleur, nous avons pu retracer avec certitude l’ascendance de Suzanne de CAUMONT, arrière-arrière-grand-mère (Anh. n° 19) de Jean Louis CANUET dit CANUEL, à cette branche noble.

Cette étude CANUET est toujours en cours, et les travaux sont au ralenti avec la saison estivale. Je vous propose donc en attendant les détails, le tableau d’ascendance dans son présent état, en avant-première.

J’en profite aussi pour tester l’utilité du nouveau logiciel d’animation sans Flash (très avare de mémoire) pour la navigation dans les branches du tableau. Évitez pour l’instant d’activer les cases d’individus qui ne mènent qu’à des pages modèles à compléter. Autrement, indiquez-moi s’il y a des problèmes de visionnement.

Note 4 juillet, 15h20: Ajout de trois autres ancêtres côté LeGROS.

Savard : Documents du XVe Jacquet Hervy


Aujourd’hui je rend compte de deux nouveaux documents reçu récemment de notre vaillante contributrice Mme Gaillandre.


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AnF/MC/Et/XIX/6, photo A. Gaillandre

Savard & Castonguay: Fondation de feue Jacquette


Le document de fondation de messe perpétuelle (
Constitution de rente par Jean Perrichart & Baudet Lesueur du 10 décembre 1496) donne peu de nouveaux détails, mais situe la propriété chargée de cette obligation. Le patronyme de Jacquette reste un mystère.

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AnF/MC/Et/XIX/11, photo A. Gaillandre

Savard & Castonguay: La maison St-Victor 1496


Nouveau chapitre du côté de la famille Adenet Lesueur (LeSur) fermier de Saint-Victor à Montreuil & Jacquette sa femme, aïeux des migrants Marie Hordouille (épse Simon Savard) et Gaston Guay. Cette fois, il s’agit du partage de la maison de la ferme St-Victor, court, jardins, bergerie et colombier, passé le 21 juin 1496 devant Pierre Pichon notaire à Paris. détails se trouvent donc en double sur les pages respectives des beaux-frères
Pierre Pépin et Thomas LeSur.

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AnF/MC/Et/XIX/11, photo A. Gaillandre

Savard & Castonguay: Partage de 1497


Parmi les derniers documents reçus, il y a cette ratification de partage, qui décrit la succession de 53 arpents de terre entre six des héritiers de Adenet Lesueur & Jacquette sa femme. Parmi ceux-ci, nous trouvons l’ancêtre des Savard canadiens, Pierre Pépin le jeune, et celui des Guay/Castonguay, Thomas Lesur. La description des lots est incluse.
Plusieurs des lots sont communs à des paires d’héritiers. Pierre Pépin est toujours associé à son frère Colas enfin confirmé (mariés aux soeurs homonymes Jeanne Lesur), Thomas Lesur est associé avec son frère Baudet, puis enfin Adenet est associé au beau-frère Jean Thioust, époux de Marguerite Lesur. Le patronyme de la famille Lesueur est en pleine transformation sur cette période passant du français moyen au français moderne. On passe sans hésiter de Lesueur, à Le Sueur, LeSur, Le Sur, et même Lexur pour les mêmes individus.
Voir les détails sur la
- Page de
Pierre Pépin le jeune (pour les descendants Savard), ou
- Page de
Thomas LeSur (pour les descendants Guay/Castonguay).

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AnF/MC/Et/XIX/12

Documents sur les Montreuillois (Savard, Guay)


J’ai reçu livraison aujourd’hui de nombreux actes tirés du Minutier central de Paris, grâce à notre contributrice Annie Gaillandre. J’ajoute donc ici, au fur et à mesure, les liens vers la mise à jour de ces actes déjà cités, mais dont on attendait depuis longtemps les détails.

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Nouvelle ancêtre SAVARD & GASTONGUAY: Colette LeMAIRE


En parcourant les photos des nouveaux documents, nous découvrons des détails qui avaient manqué aux catalogues (Minutes du XVe). C’est ainsi que l’on apprend le nom de la veuve de l’ancêtre commun des migrants Marie Hordouille (m Simon Savard) et de Jeanne Prévost (m Gaston Guay):
Colette Le mere (Lemaire) femme de Pierre Préaulx le jeune. Si les aïeux paternels de Marie Hordouille sont issus de la Thiérache en Picardie, ses ancêtres maternels remontent chez les grands laboureurs et fermiers de Montreuil à l’aube de la Renaissance. Bonne lecture!

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Niel mac Intyre «firmly held and bound unto» John MacDonald


Reçu aujourd’hui des Archives provinciales de l’Île-du-Prince-Édouard, les Lettres d’obligations du clan MacIntyre envers le frère du seigneur Glenaladale, John MacDonald alors marchand de l’île St-Jean. Ainsi que le bail original de leurs terres qui semblaient sises à Tracadie, dans les limites du domaine de Glenaladale du Lot 36. Les transcriptions (en anglais) ont été ajoutées aux Notes historiques de la famille.

La lettre d’obligation est signée au portage de la Rivière Hillsborough, qui doit être sur le Portage Rd à Tracadie Cross.

La transcription est ajoutée. L’obligation ne tranche pas absolument quel est l’objet de la mascarade d’Eleonard (alias Neil) McIntyre, mais le départ précipité des familles penche toujours vers cette interprétation.

Le bail prévoit qu’en cas de défaut (délaissement de bail), il y a amende de 50£. L’obligation lie le groupe pour une amende collective de 100 £ pour le délaissement, mais les participants peuvent s’y soustraire en réintégrant leur bail, ou en payant l’amende initiale de 50£. John McMillan réintégrera son lot, laissant les quatre autres contractants avec la solde. Mais on peut certes douter qu’ils aient eu le moyen de se libérer de cette dette envers MacDonald, et s’installer à Montmagny (et environs), le tout en moins de 13 mois. Même à 25£ chacun, cela représente encore quelques mois de travail, si travail il y a. C’est plus simple de s’immiscer parmi les Acadiens voisins qui les font sans doute passer vers Montmagny, où plusieurs familles acadiennes se sont installées depuis quelques années.

Un élément intéressant confirme aussi hors de tout doute que
Neil McIntyre à l’île St-Jean en 1772 est bien le même que celui établi au avant nov. 1775 à St-François-du-Sud, et plus tard en Beauce. Sa signature du 21 septembre 1772 à Tracadie, si naturellement différente dans son exécution, est identique au niveau du style et de la forme qu’aux exemplaires postérieurs au Québec: Neil mac Intyre.

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Portage Rd/Bloomington Pt Rd à Tracadie Cross

Phlipe PICHON: Procès évité


Nouvel acte notarié reçu aujourd’hui, au sujet de
Philippe Pichon (ascendance Marie Pichon m1 Philippe Gaultier m2 Charles Sevestre). Cette fois, Philippe a gain de cause dans un procès intenté contre lui par les autres maîtres tourneurs en bois de Paris.

Philippe prend-il des libertés dans le métier? Il faut rappeler que les corps de métiers à l’époque réglementaient strictement les façons de faire, ce qui bloque souvent l’innovation.

Bien que la nature précise du conflit n’est pas précisée, Jehan Loiseon au nom des poursuivants se désiste le 17 octobre 1614 devant le notaire Raoul Bontemps, et s’engage à verser 18 £ en dédommagement à Philippe Pichon. Pichon l’en acquitte pour 16 £, et reçoit une promesse pour les 40 sols restants.

Merci à Mme Gaillandre pour sa nouvelle contribution!


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AnF/MC/Et/XXIII/127

Précisions chez René Plourde

Grâce à la collaboration de Mario Plourde d’Albanel, j’apporte quelques précisions à l’ascendance de René Plourde.

À la famille de
Georgette Charrault (no 7), l’acte de son deuxième mariage avec Pierre Pelourde, ainsi que de la naissance d’un enfant Vincent Pelourde b 1651.

Aussi, M. Plourde a ciblé le baptême d’Antoine Pelourde f François & Jeanne Jousselin
.

Correction (10h53 18.4.2011): Après avoir examiner de plus près le document et son contexte, nous comprenons que Antoine est baptisé le mardi 15 juillet 1608, malgré l’entête de page indiquant 1605. Le verso (p 58 au Rg numérisé des AD86) indique la même année (1605) en entête, mais corrigé à 1608. Cette page affiche aussi un acte d’août dont l’année est citée textuellement «mil six cent et huit».

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Une souche noble chez Aubain LeCoufle

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de LÉZEAUX
Normandie
d’azur au chef d’or, chargé de trois merlettes de gueules



Souche noble chez Aubin LeCoufle, grâce au cousinage avéré avec les migrants acadiens Louis et Julien DesRoches

Il y a quelques mois, après la publication de la
généalogie LeCoufle sur ces pages, j’ai reçu un gentil message du généalogiste acadien chevronné Marcel Barriault, qui a remarqué des similitudes parmi certains ancêtres de Aubin LeCoufle, et de ceux des immigrants acadiens Louis et Julien DesRoches.

En 2006, M. Barriault publiait dans un numéro spécial de
Les Cahiers (SHA), une généalogie exhaustive de ces deux migrants.

J’ai eu le bonheur cette semaine de recevoir un exemplaire courtoisie de l’auteur.

Les ancêtres Deschamps & de Lézeaux – présents de chaque côté – semblent bien parents entre eux. Mais pour l’instant, vu les lacunes aux registres paroissiaux, il est impossible de s’avancer sur le cas de la famille Deschamps du Manoir. Julien Deschamps, ancêtre de Aubain LeCoufle, est certainement parent à cette lignée selon ses choix de témoins, mais il a presque deux générations d’écart entre Julien et la lignée établie par M. Barriault. Ce n’est que partie remise pour remonter au probable trisaïeul de Julien Deschamps, Guillaume Deschamps du Manoir, souche documentée de cette branche présumée.

Du côté des de Lézeau, les choses sont beaucoup plus claire. Vu les liens qu’entretiennent les cousins de Lézeaux, j’avais d’abord attribué certains des enfants de Noël à son frère Gilles, aïeul de Aubain LeCoufle. Selon la chronologie, les liens entretenus entre les deux familles, et de leur état de « nobles hommes », on peut difficilement imaginer que Gilles et Noël puissent être autre que frères de sang. Comme Noël porte le titre d’écuyer, c’est que Gilles doit être son cadet (puîné ) . Mais il n’est cité que posthume et en latin, donc il peut avoir omissions.

Les nouvelles générations
de Lézeaux, sont navigables à partir de la page principale d’Aubin LeCoufle.

J’espère réintégrer le reste de la généalogie LeCoufle (présentement par descendances patronymiques) à mes fiches de familles depuis adoptées. Mise-à-jour: Réintégration terminée (01h42;17.4.2001)

Expertise d’Isaac Vimont

Reçu ces derniers jours de nouveaux documents du Minutier central. Un grand Merci à Mme Gaillandre.

Première constatation, il existe un deuxième Jacques Macé (rien de surprenant) marchand (de vinet) bourgeois de Paris en 1589. Ce dernier est fils de Thomas, et n’est pas de la famille des imprimeurs. Une simple vente de maison qui tourne en saga, qui prendrait des semaines à décortiquer.

Autrement, Isaac Vimont a été ciblé dans un répertoire d’artisan au Caran, et l’original reproduit par Mme Gaillandre. Isaac est appelé en 1613 à estimer (prisée) des bijoux et de l’argenterie lors d’un inventaire après décès. Intéressant pour la petite histoire, et l’inventaire nous fourni deux nouveaux exemplaires de sa signature.


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AnF/MC/Et/LXXIII/300

Documents sur Phlipe Pichon


Reçu cette semaine une nouvelle série de photo de Mme Gaillandre, la plupart des acte ciblés concernant
Philippe Pichon (ou Phlipe comme il signe), père de l’immigrante Marie Pichon. Surtout des baux à loyer et contrats professionnels, ils sont toujours muets sur le nom de sa première épouse de Vimont, mère de Marie.

Déjà, on commence à avoir un meilleur portrait du personnage. Voir les détails qui s’ajoutent sur sa fiche généalogique.

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AnF/MC/Et/VI/418

Les MacINTYRE de la Baie-des-Chaleurs démasqués!

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Après plus de 200 ans, le secret de Neil/Noël/Édouard/Éléonard McIntyre commence enfin à se dévoiler.

Les origines de Jean-Baptiste McIntyre (m Reine D’Amboise-Bergeron) et de sa soeur Marie-Anne McIntyre (m Joseph Jahan-Laviolette), sont enveloppées dans le mystère, depuis qu’ils ont eux-mêmes brouillé les pistes.

Jean est attesté frère de Marie à deux reprises, et pourtant, ils nomment des parents différents à leurs mariages respectifs. Il faut suivre les allées et venus de cette famille depuis son arrivée en 1772 pour comprendre et démontrer que Édouard et Eleonard sont des alias par masquer l’identité de leur père, Neil mac Intyre, de Barra en Écosse.

Une dette contractée en septembre 1772 à l’Île-du-Prince-Édouard, quelques mois après leur arrivée, quand les Gens de Barra abandonnent la terre qui leur avait été louée à bail perpétuel. La suite des événements suggère fortement que Neil et ses cousins ont fait défaut à leur obligation, comme on les retrouve 13 mois plus tard installés près de Montmagny, alors qu’ils devraient en principe être à l’emploi du seigneur Glenaladale pour rembourser leur dette. Nous tenterons de prouver le défaut le mois prochain aux Archives provinciales à Charlottetown (NDLR 2021 - L'obligation aux archives n'est pas indiquée comme acquitté, et était donc toujours active légalement).

Suivre le lien pour joindre la page généalogique de
Neil mac Intyre (dit Noël alias Edouard alias Haleonor dit Éléonard) & Marguerite MacKenzie (alias Brigitte).

Nouvelles pages Gaultier

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Pour mieux encadrer la généalogie en développement de Philippe Gaultier & Marie Pichon, j’amorce des pages spécifiques à cet effet, pour les extraire des pages des catalogues imprimeurs. Question ici de respecter le modèle des pages généalogique de migrants du site, GAULTIER remplace le VIMONT initial dans les en-têtes.

Philippe GAULTIER & Marie PICHON


Nous devons aujourd’hui une fière chandelle à Mme Annie Gaillandre à Paris, qui nous a retracés et reproduit cette semaine le contrat de mariage de
Philippe GAULTIER imprimeur & Marie PICHON (immigrante avec son deuxième mari Charles SEVESTRE) au Caran.

Si leur acte de mariage à l’église Saint-Sulpice de Paris, rapporté par
Jean-Paul Macouin (Fichier Origines), est muet sur l’identité de leurs parents, le contrat de mariage apporte les précisions manquantes, sauf pour le prénom de la mère de Marie Pichon.

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Archives nationales, Minutier central, Ét/XCII/28


L’ascendance du couple est déjà indiquée à la page principale des imprimeurs, et j’ajoute à l’instant tous les détails du contrat sur la page de Philippe Gaultier. Par la suite, nouvelle page pour cet Isaac Vimont orfèvre flamand (qui signe dans l’image ci-dessus), dont on connaît encore peu de chose, sinon qu’il est cité avec ses frères David et Guillaume, le premier le plus illustre, dans certains manuels et revues d’histoire de l’art.

Jehan SAVARD & Guillemette GRENEST


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Maquette du Château de Vincennes.

La page de Jean SAVARD & Guillemette GRENEUX a été revue, corrigée et augmentée depuis sa première version d’hier.

La question qui reste en suspend, dont je crois avoir trouvé la solution: Quel type de livres Jehan Savard écrit-il?

Mon interprétation s’est arrêtée à «écrivain en livres de par[lemen]t». Mais j’attends les avis d’autres collègues chercheurs pour la confirmation dans ce cas difficile. Si cela se confirme, l’ascendance possible voir probable de Jean, sera promue à «très probable».

Avant lui, il existe à Vincennes deux générations de Simon Savart praticiens, vraisemblablement père et fils, originaires de Fontenay tout à côté. Les praticiens agissaient généralement comme procureurs à la justice seigneuriale (soit avocats). Le deuxième Simon sera aussi qualifié de greffier et tabellion. De nombreux indices les rapprochent déjà, donc si Jean Savard s’avère écrire des textes juridiques, il y aura lieu de s’avancer et présenter cette ascendance présumée. Avec toutes les précautions qu’elle mérite.

Aïeul des Savard trouvés!


Le Jean SAVARD soldat en morte-paye évoqué sur mes pages depuis plus de 5 ans a finalement été identifié, comme père de Jean Savard le charron, nouvelle souche des Savard canadiens. L’aïeul des charrons a donc été
écrivain en livres (d’église? de parlement?), serviteur domestique de Antoine de Belloy en France, seigneur de Morangle, capitaine du Château de Vincennes et de la Bastille.

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Lire les détails sur la nouvelle page de Jean SAVARD & Guillemette GRENEST!

Les imprimeurs-libraires


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Cette première version des catalogues des imprimeurs-libraires parisiens est enfin complétée. Il manque surtout un examen des bibliographies d’imprimeurs et libraires parisiens de Philippe Renouard, dont de nombreuses copies numérisées ont été récemment retirées de Gallica.fr. Dommage.

Cette recherche n’aura pas été vaine. Comme les découvertes arrivent souvent par accident, c’est parmi ces hommes de lettres que l’on découvre les parents de
Jean Savart le charron, aïeul des Savard canadien. Le père, Jehan Savard soldat en morte paye au château de Vincennes, est déjà évoqué sur la page des Savard comme possible père de notre charron. La publication des détails de cette primeur sera bientôt annoncée ici. Restez à l’écoute.

Les libraires-imprimeurs de Paris

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Petit projet devenu grand. (mis-à-jour le 17 février 14h30)

En repassant l’un de mes libraires-imprimeurs, j’ai décidé de tenter d’extraire les titres publiés par les ancêtres des époux de Marie Pichon,
Philippe GAULTIER et Charles SEVESTRE.

Aujourd’hui,
GoogleLivres s’avère un outil puissant à cet effet, auxquels il faut aussi ajouter Gallica.fr et WorldCat.org qui ne sont pas à rechigner.

J’amorce donc une série de pages «IMPRIMEURS», question de rassembler en catalogue d’atelier pour chacun d’eux. Le fondeur Garramont qui lui a donné le nom au 16e siècle était marié à une GAULTIER d’une famille d’imprimeurs de Paris. Impossible de savoir si ce sont les mêmes que nos Gauthier imprimeurs du siècle suivant. Le choix est tout de même à propos pour l’occasion.

Toute information supplémentaire pour compléter les fiches sera bienvenue. Veuillez
m’informer de tout titre manquant (sur pages en version 1.0 ou ultérieures). Si la page frontispice ne s’y trouve pas, alors la version numérisée n’a pas encore été localisée. J’espère tenir cette page à jour régulièrement des nouveaux titres numérisés ajoutés régulièrement aux bibliothèques virtuelles.

Ascendance de Édouard Harquail

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Il ne s’agit pas ici d'une étude des sources primaire, mais d’un rassemblement des diverses généalogies de l’île Jersey qui établissent la généalogie de diverses branches de l’ascendance de Édouard Hacquail. Il reste beaucoup de travail à faire sur les branches féminines. En attendant de pouvoir m’y pencher plus longuement, ou de recevoir d’autres éléments de collègues chercheurs, je présente ici l’ascendance non vérifiée de Édouard Hacquoil dit Harquail, époux de Angélique Rosalie Robichaud, établis d’abord à Bonaventure vers 1792, puis à Ristigouche, avant poursuivre à Charlo (N.-B.) puis Carleton. Son décès m’échappe toujours. Je cherche toujours aussi l’article de Marcel Garnier à son sujet (son père Pierre Hacquoil, alors veuf en 1790 aurait aussi émigré avec son fils) dans l’Estuaire généalogique [NDLR Rien n'est en fait précisé à son sujet].

L’acadien Charles Bernard retrouvé!

Les sections historiques et généalogiques de l’ascendance de Claire ROUSSELOT sont maintenant complétées. Faute de documents, je saute (pour l’instant) la fiche du couple Rousselot-Lanier, qui ne semble cité (posthume) qu’au mariage de leur fille Nicole. De même pour la fiche et l’ascendance Ancelin, qui ont été publiées dans le bulletin de l’Association des Asselin, et reprises en partie dans le Fichier Origine.

Je poursuis avec la présentation d’un ancêtre acadien dont l’histoire avait oublié le prénom,
Charles BERNARD, premier époux de Andrée GUYON, trouvé à La Rochelle peu avant leur départ. [NDLR: Charles avait déjà été retrouvé par Jacques Verrou à l'insu de l'auteur de ces pages]

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Ascendance Rousselot complétée

Les sections historiques et généalogiques de l’ascendance de de Claire ROUSSELOT sont maintenant complétées. Faute de documents, je saute (pour l’instant) la fiche du couple Rousselot-Lanier, qui ne semblent cités (posthume) qu’au mariage de leur fille Nicole. De même pour la fiche et l’ascendance Ancelin, qui a été publié dans le bulletin de l’Association des Asselin, et repris en parti dans le Fichier Origine.

Je poursuit avec la présentation d’un ancêtre Acadien dont l’histoire avait oublié le prénom, Charles BERNARD, premier époux de Andrée GUYON, trouvés à La Rochelle peu avant leur départ. [NDLR: Charles avait déjà été retrouvé par Charles Verrou à l'insu de l'auteur de ces pages]


rochelle

Dans L’engrenage de La Rochelle

Après de long détours dans les registres de La Rochelle, j’ai entrepris l’ajout des nouvelles trouvailles, à commencer par Claire Rousselot annoncé il y a déjà quelques semaines. Voir de ce côté pour les nouveautés! La page principale est complété dans sa première version. J’en suis à compléter la première fiche familiale, soit de Jean Lanier & Cateline Barau). Celle de Nicolas Rousselot et Jeanne Lanier suivra, mais couple éphémère il laisse peu de traces.

LaRochelle-cultes

Claire ROUSSELOT, femme René Ancelin

Encore du nouveau pour bien commencer l’année!

Je suis particulièrement intéressé à la première épouse de René ANCELIN (n'est pas venue au Canada), Claire ROUSSELOT, qui est mon aïeule matrilinéaire directe. À ce titre, elle m'a légué son ADN mitochondrial.

J'ai fait faire la séquence complète mon ADNmt (FGS), résultat qui a servi à définir le nouveau mitogroupe (haplogroupe mitochondrial) H1j, identifié par la mutation 4733C. La suite (3 autres mutations identiques en aval) semble démontrer que nous sommes parents proches (relativement) d'une lignée hispanophone qui s’étire jusqu’au Guatémala et au Costa Rica. Naturellement, j'aimerais bien remonter notre lignée quelques générations supplémentaires.

Je croyais d'abord ces ROUSSELOT d'Angliers (17009), puisqu’un François Rousselot épouse Marie Chevalier le 28.1.1636 à Ste-Marguerite de La Rochelle. Ces derniers retournent à Angliers où le décès de Chevalier est attesté au tout début du premier registre conservé à cet endroit le 10 février 1668. 

Après avoir passé (ou perdu croyais-je) la journée de dimanche à fouiller La Rochelle pour cette famille Rousselot, j'en étais resté sur l'hypothèse d'Angliers non conservé et j'ai passé à autre chose. 

Cet après-midi, je sondais La Rochelle pour les Cormier futurs acadiens qui déclarent y résider en janvier 1644 (engagement DGFA p 400, – on peut penser qu'ils y ont baptisé Jean en juillet 1642...). Donc le Rg de St-Barthélémy annoncé semblait de rigueur. Mais le registre ne contient pas de naissance, que des abjurations et des mariages. On y trouve d’ailleurs le mariage d’Emmanuel Le Borgne...

Isabelle Baussy, du Préfen, cite dans sa notice complémentaire*
disponible ici, le contrat de mariage de Fortin Ancelin du 25.11.1674, où assiste sa tante Nicole ROUSSELET femme Pierre TESTAULT. J'avais bien trouvé dimanche un fils de ce couple Jean TESTAULT b 23.1.1639 Ste-Marg (Pn Jean Grignon Gasnier Mn mlle Dabillon femme me Beniamy Meurguier conseiller du roi et élu en l'élection de cette ville), mais rien de plus.

En poursuivant dont ce registre de mariage déclassé, je tombe quelques pages après le mariage Le Borgne, cet acte:

FM_testeau-rousselot_1637


Le jour de St Luc dixhuitiesme octobre 1637 ont été épousés Pierre TESTEAU
saunier fils François TESTEAU et de & Marie GRIGNON de la paroisse de St Nicolas
avec l'attestation de son curé et Nicole ROUSSELOT fille de feux 
Nicolas ROUSSELOT et
Janine LANYER
 de cette paroisse (de St-Barthélémy) en présence des tesmoings soubsignes de
plusrs de ses parens et amys qui ne scavent signer. 


Ceci nous donne donc, par déduction, les parents de Claire Rousselot première femme de René Ancelin, et ancêtre des Michaud canadiens. Claire ROUSSELOT cède donc sa place à Janine LÂNIER comme matriarche des H1j canadiens. Je reprends donc mes fouilles sur La Rochelle. Aucun lien encore avéré avec Angliers.

*
PRÉFEN / Beaussy, Isabelle / AD Vendée, René Ancelin (Asselin) et sa famille, Notices complémentaires, Programme de recherche sur l'émigration des Français en Nouvelle-France, Alençon, mars 2005 (téléchargé 2.1.2011), 8 pages. Fichier: 11425ra.pdf

Elie Sirois & Liza Gagnon

Dans la refonte de ma généalogie, j'ai amorcé cette semaine la deuxième quart de mon premier quartier, soit l’ascendance de Élie SIROIS dit DUPLESSIS & Elisabeth GAGNON. La tâche était grande. Tout ce dont je disposais étant la date du mariage du couple tiré des répertoires de Gérard Éloi-Talbot, puis de cette superbe photo circa 1925 du couple.

Sirois-Gagnon

Mes arrière-arrière-grands-parents avaient la bougeotte. Fils de forgeron, il est journalier et court les chantiers, comme en 1873 à leur mariage par le missionnaire du Chemin de Matapédia, lui et ses beaux-parents habitent, du moins temporairement, à la Section dixhuit de l'Intercolonial. Ils demeurent plus tard dans le secteur de Dalibaire / Les Méchins, et on les retrouve parfois à Sainte-Félicité, parfois à Cap-Chat avant l’ouverture des registres des Méchins.

Les parents d’Élisabeth seront tout aussi difficiles à suivre. François GAGNON & Geneviève CROUZET s’installent finalement à Cap-Chat vers 1874 après avoir tâté Matane (1846), ___? (1852), Ste-Anne-des-Monts (1861), Sainte-Félicité/Grosses-Roches (1871), Lac-au-Saumon (Section 18 Intercolonial 1873). Le père d’Élie, Joseph SIROIS dit DUPLESSIS est forgeron comme son père. De Kamouraska, il installe sa forge d’abord aux Postes à Tadoussac, à l’Anse-à-l’Eau où demeurent les parents de sa future Léa Dassylva, puis à Rimouski, puis à Matane, avant de prendre une terre au Lac-au-Saumon (ou dans le secteur, près d’Amqui) peu après le passage du chemin de fer.

Élie Sirois & Liza Gagnon semblent avoir été sautés au recensement de 1881, alors qu’ils devraient se trouver aux Méchins (div. Cherbourg en principe). Les beaux parents Gagnon (dont Liza) sont pour leur part introuvables au Rc 1851 (fait en janvier 1852).

sirois

René Pelourde dit Plourde

Malgré le baptême et quelques générations patrilinéaires indiqués au Fichier origines selon les recherches de Jean-Marie Germe (AGCF), le cas de René Plourde n’a pas fait l’objet d’aucune étude généalogique plus poussé, dans l’état civil de son patelin d’origine. Aujourd’hui, on se transporte donc dans la Vienne.
La famille Pelourde semble travailler des terres autour de Traversais à Saint-Cyr. Mais jusqu’en 1680, donc 15 ans avant le départ de René, les villages de Saint-Cyr et de Traversais font partie de la paroisse de Dissay. Dans branche parente (descendants de Simon, frère de l’aïeul de RenéWinking, François Pelourde est fermier à Velaudon, une ferme à mi-chemin entre Traversais et Vouneuil-sur-Vienne.

Le tableau d’ascendance est en place depuis plusieurs jours sur la
Page principale de René Plourde. Aujourd’hui, j’ai résolu mon dilemme de présentation. Je ne souhaite pas m’étendre chez les collatéraux autant qu’avec les LeCouffe, tout en présentant les familles (immédiates) complètes des ancêtres en question. Mon nouveau modèle de fiche de famille ce matin dessiné cadre parfaitement dans cette plateforme  de composition, tout en présentant les informations de façon claire et précise.  J’espère que vous apprécierez.

J’ai donc complété la première famille (celle des parents de RenéWinking. La numérotation des époux correspond au numéro Sosa du migrant. Et je poursuis avec la suite.

Après, je reviendrai compléter ces mêmes fiches de famille pour boucler l’étude de
Charles POIDVIN.

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Poidvin: Les cousins bourgeois MOIRÉE du Mont-Saint-Michel

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Il ne faut jamais négliger les témoins aux actes.

Le mariage de
Jean CHEMIN avec Jeanne GAUTHIER à Ronthon le 26.11.1671 (ascendance Charles POIDVIN), n’indique pas le nom de la mère du marié (il est simplement dit fils de Jacques). Julienne MOIRÉE est connue uniquement par sa sépulture en 1687 où elle est indiquée veuve de Jacques CHEMIN. Les témoins du mariage de 1671 viennent heureusement supporter cet état de fait. Les témoins sont : Jacques (père) et Robert Gaultier, Jacques Moiree et Gilles Moiree bourgeois de Mont Saint-Michel.

Les registres du Mont-Saint-Michel sont conservés depuis 1595, mais comptent de nombreuses lacunes.

Jacques MOIRÉE ne semble pas présent au Mont-Saint-Michel avant 1671, la qualité de bourgeois est peut-être valide uniquement pour Gilles. Jacques Moiré témoin en 1671 semble plutôt un oncle du marié habitant Ronthon, et nommé avant le bourgeois par ancienneté comme on va le voir.

Gilles MOIRÉE est cependant mieux connu. Ce Gilles MOIRÉE est-il un frère de Julienne MOIRÉE? Les registres du lieu montrent plutôt qu’il est le fils de feu Gilles MOIRÉE & Jeanne LeFORT.

La première mention de Gilles MOIRÉE au Mont-Saint-Michel s’avère à son mariage du 24.9.1634. Il est donné
fils de Léonard de la paroisse de Ronthon. Tout porte à croire, selon la chronologie en place, que Gilles Moirée de Ronthon marié au Mont-Saint-Michel est le frère de Julienne. Comme les registres de Ronthon n’ont pas été conservés sur cette période, ce sont les registres du Mont-Saint-Michel qui livrent le nom de l’ancêtre Moirée. Gilles MOIRÉE bourgeois du Mont-Saint-Michel en 1671 serait donc le cousin germain maternel du marié Jean CHEMIN.

moiree

Charles POIDVIN: Ajouts et corrections

Après la consultation de l’acte de décès de Anne Héon de 1695, son âge déclaré semble l’éliminer comme possible enfant de Jean HÉON et Éléonore CHESNAY. Elle semble finalement la même Anne Héon fille Michel, soeur de Guillaume Héon, où elle est marraine de sa fille Anne Héon.

Anne et son frère Guillaume choisissent régulièrement leurs parrains et marraines parmi leurs cousins remués de germains (les enfants de Robert et Jean Héon, fils de André - André présumé frère de Michel et oncle de Anne Héon) qui ont à peu près de l’âge des parents.

Il y a une deuxième Michel Héon, fils d’André qui a semé la confusion jusqu’à la découverte du décès d’une deuxième veuve de Michel Héon confirmant la présence d’homonymes oncle et neveu, et sûrement parrain et filleul. L’ancien semble décéder assez jeune, et ses plus jeunes enfants ont peut-être été élevés chez leur cousin Robert Héon par exemple, ce qui expliquerait les forts liens entre ces familles ultérieurement.

J’ai trouvé et ajouté au tableau d’ascendance les décès de Jean CHEMIN et Jeanne GAUTIER question de lui donner un peu de coffre.

Poidvin: Ascendance paternelle

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Après avoir recensé les registres sur le premier demi-siècle à Champcey, on peut déjà s’avancer sur l’ascendance de Nicolas Poidvin, père l’immigrant Charles. Les naissances et le mariage de ses parents tombent malheureusement pendant des périodes lacunaires des registres. Il faut donc étudier toutes les familles de leurs patronymes respectifs (Poidvin et Héon) afin de déterminer, avec assez d’assurance, leurs filiations les plus probables.

Sur la
Page principale de Charles Poidvin, j’aborde aussi la parenté possible de Charles Poidvin avec les immigrants Charles HÉON (en Acadie) et de François PAINCHAUD (à Québec).

Charles Poidvin: Fratrie


La première étape de cette étude est complétée avec l’édification de la famille de
Nicolas POIDVIN et ses deux mariages. Chapeau au CG50 (qui permet l’adhésion via Paypal): leurs relevés accessibles en ligne m’ont épargnés de nombreuses heures de recherches pour retracer le décès de Jeanne CHEMIN, qui termine ses jours au village de La Botterie à Montviron, une cinquième commune qui s’insère dans cette étude.

La deuxième partie de cette étude visera à identifier l’ascendance des POIDVIN-HEON à Champcey, avant d’entreprendre en troisième un relevé exhaustif des familles concernées principalement dans les trois communes de Ronthon, Champcey et Sartilly, pour en extraire la descendance patronymique des aïeux de Charles POIDVIN.

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