Des origines Ibérique chez Cateline Barau?
Lorsque j’ai fait faire la séquence complète de mon ADN mitocondrial, j’ai eu l’heureuse surprise de trouver deux cousins dont la signature est identique. Le premier cas fut rapidement résolut. Le cousin depuis avéré, Troy Ireland, un Américain de la Nouvelle-Angleterre, ne connaissait initialement que sa grand-mère Smart, mais après vérification avec sa famille, cette dernière se trouve en fait une Vaillancourt originaire du Maine. On pouvait donc dès lors prédire la suite. En corroborant quelques autres données fournis par les intéressés, avec les bases de données généalogiques en ligne, en quelque minutes cette lignée a rejoint notre aïeule commune, Marie Élisabeth MICHAUD née en 1685 à L’Islet.
Le deuxième cas cause plus de problèmes. Marcel Barbier, malgré le patronyme belge, descend d’ancêtres du Guatemala, mais arrivé de Barcelone au 19e siècle. Rien ne nous permet de croire, pour l’instant, quelconque origine française à cette lignée qui tire ses origines en Catalogne. Le frère de Marcel, Oscar, a déposé la Généalogie de leur famille sur Généanet.
Ceci nous ramène donc au cas de Cateline Barau. Voyons d’abord son prénom. Invariablement dans les registres de la paroisse Sainte-Marguerite de La Rochelle, les clercs la nomment Catherine. À ce niveau, l’intéressée persiste et signe clairement : Cateline. Ce prénom bien entendu synonyme de Catherine, mais semble hors d’usage dès le français moyen (d’oïl). On le retrouve cependant chez les Bretons, comme dans ce ce vieux dicton : Entre la Cateline et Noué (Noël) tout bois est bon à planter ». Mais son prénom semble plutôt une déformation de Catalina, commun en langue d’oc, en catalan et en basque. Mais cela reste dans le domaine de la spéculation.
Ce qui est plus intriguant, c’est ce patronyme. Bien qu’il soit encore courant à l’époque que les femmes féminisent leurs patronymes comme sobriquet, le cas de Catheline Barau qui passe de BARAILE/BARAILLE à BRELELE puis à BARAU laisse perplexe. Se cache-t-il là des preuves plus tangibles d’une origine ibérique. J’invite les interprétations.
Lorsque j’ai fait faire la séquence complète de mon ADN mitocondrial, j’ai eu l’heureuse surprise de trouver deux cousins dont la signature est identique. Le premier cas fut rapidement résolut. Le cousin depuis avéré, Troy Ireland, un Américain de la Nouvelle-Angleterre, ne connaissait initialement que sa grand-mère Smart, mais après vérification avec sa famille, cette dernière se trouve en fait une Vaillancourt originaire du Maine. On pouvait donc dès lors prédire la suite. En corroborant quelques autres données fournis par les intéressés, avec les bases de données généalogiques en ligne, en quelque minutes cette lignée a rejoint notre aïeule commune, Marie Élisabeth MICHAUD née en 1685 à L’Islet.
Le deuxième cas cause plus de problèmes. Marcel Barbier, malgré le patronyme belge, descend d’ancêtres du Guatemala, mais arrivé de Barcelone au 19e siècle. Rien ne nous permet de croire, pour l’instant, quelconque origine française à cette lignée qui tire ses origines en Catalogne. Le frère de Marcel, Oscar, a déposé la Généalogie de leur famille sur Généanet.
Ceci nous ramène donc au cas de Cateline Barau. Voyons d’abord son prénom. Invariablement dans les registres de la paroisse Sainte-Marguerite de La Rochelle, les clercs la nomment Catherine. À ce niveau, l’intéressée persiste et signe clairement : Cateline. Ce prénom bien entendu synonyme de Catherine, mais semble hors d’usage dès le français moyen (d’oïl). On le retrouve cependant chez les Bretons, comme dans ce ce vieux dicton : Entre la Cateline et Noué (Noël) tout bois est bon à planter ». Mais son prénom semble plutôt une déformation de Catalina, commun en langue d’oc, en catalan et en basque. Mais cela reste dans le domaine de la spéculation.
Ce qui est plus intriguant, c’est ce patronyme. Bien qu’il soit encore courant à l’époque que les femmes féminisent leurs patronymes comme sobriquet, le cas de Catheline Barau qui passe de BARAILE/BARAILLE à BRELELE puis à BARAU laisse perplexe. Se cache-t-il là des preuves plus tangibles d’une origine ibérique. J’invite les interprétations.