Elie Sirois & Liza Gagnon

Dans la refonte de ma généalogie, j'ai amorcé cette semaine la deuxième quart de mon premier quartier, soit l’ascendance de Élie SIROIS dit DUPLESSIS & Elisabeth GAGNON. La tâche était grande. Tout ce dont je disposais étant la date du mariage du couple tiré des répertoires de Gérard Éloi-Talbot, puis de cette superbe photo circa 1925 du couple.

Sirois-Gagnon

Mes arrière-arrière-grands-parents avaient la bougeotte. Fils de forgeron, il est journalier et court les chantiers, comme en 1873 à leur mariage par le missionnaire du Chemin de Matapédia, lui et ses beaux-parents habitent, du moins temporairement, à la Section dixhuit de l'Intercolonial. Ils demeurent plus tard dans le secteur de Dalibaire / Les Méchins, et on les retrouve parfois à Sainte-Félicité, parfois à Cap-Chat avant l’ouverture des registres des Méchins.

Les parents d’Élisabeth seront tout aussi difficiles à suivre. François GAGNON & Geneviève CROUZET s’installent finalement à Cap-Chat vers 1874 après avoir tâté Matane (1846), ___? (1852), Ste-Anne-des-Monts (1861), Sainte-Félicité/Grosses-Roches (1871), Lac-au-Saumon (Section 18 Intercolonial 1873). Le père d’Élie, Joseph SIROIS dit DUPLESSIS est forgeron comme son père. De Kamouraska, il installe sa forge d’abord aux Postes à Tadoussac, à l’Anse-à-l’Eau où demeurent les parents de sa future Léa Dassylva, puis à Rimouski, puis à Matane, avant de prendre une terre au Lac-au-Saumon (ou dans le secteur, près d’Amqui) peu après le passage du chemin de fer.

Élie Sirois & Liza Gagnon semblent avoir été sautés au recensement de 1881, alors qu’ils devraient se trouver aux Méchins (div. Cherbourg en principe). Les beaux parents Gagnon (dont Liza) sont pour leur part introuvables au Rc 1851 (fait en janvier 1852).

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