M: vers 1535 Paris
(…)
métier
- ca 1510 n Paris, Rennes, Rouen ou Caën?
- 12.3.1551 contrat bail de partie de maison rue des Poirées (voir chronologie).
- 26.6.1551 contrat vente de maison rue des Poirées, Claude CHAULDIERE (prob. beau-frère).
- 10.8.1564 cité CM Marie Macé leur fille avec Sébastien de LA FOSSE.
- 29.1.1565(ns) contrat bail à loyer à son fils Jacques Macé, maison à l'image Nostre-Dame.
- 29.5.1571 cité Jehan Massé libraire plaide contre divers laboureurs de Vitry.
- v 1589 d Paris.
texte.
M: vers 1566 Paris
(…)
- ca 1540 n Paris
L’a-t-on confondue avec la belle-mère du premier mariage de Jean, Geneviève Higman?
(prob. Regnault Chauldière imprimeur & Genevière Higman, fille Jean Higman & Guyonne Viart)
- ca 1516 n Paris
- 10.8.1564 citée M Marie Macé leur fille avec Sébastien de LA FOSSE.
- apr 10.8.1564 d Paris
Enfants Macé-Chaudière:
- JACQUES MACÉ n c1537, marchand libraire à l’enseigne de la pyramide à partir de 1565. Son fils Charles publie à la même enseigne à partir de 1571.
- MARIE MACÉ n c1544, m (ct) 10.8.1564 Paris Sébastien de LA FOSSE marchand épicier (Philippe marchand teinturier & Marie Bichet).
- BARTHÉLÉMY MACÉ n c1546, m Marie BUON (Gabriel & ...). Imprimeur. Prend la relève de l’atelier et la marque de son père.
Enfants Macé-Rolland:
- MARGUERITE MACÉ n ca 1567 (sic?), m vers 1584 (17 ans?) Jean PETIT-PAS marchand de vin. Dont: Marguerite Petit-Pas migrante n vers 1585 et Jean Petit-Pas imprimeur-libraire. Remarques : Si le relevé Descimon est exact, et la mère de Marie Macée est toujours vivante lors de son contrat de mariage, il est difficile de réconcilier la naissance de Marguerite Petit-Pas (fille de Marguerite Macé) selon son âge déclaré à Québec et un deuxième mariage de Jean Macé après 1564 avec Geneviève Rolland.
Sa boutique est à l'enseigne de l’écu de Bretagne, rue du Mont-St-Hilaire.
(dit Clos Bruneau, auj. Rue de Lanneau).
Selon de La Caille: «Il était un des plus habile libraire, & un de ceux qui a le plus fait imprimer de son temps. Sa marque estoit representée par la gloire qui porte en sa main la Victoire (Britanniæ) avec ces mots: Vincit Laurea, perimit dextra: & ces autres dans un Cartouche: à finistra caveto, et sous lespieds de la Gloire, Opinio.»
Selon Mellot, «il succède à Pierre Gaudoul (1508-1537) dont il emploie d’abord les marques».
L’enseigne de Gaudoul (l’image de Saint-Cyr) est remplacée par l’écu de Bretagne avant 1625, soit l’arrivée de Jean Macé dans l’atelier.
Jehan MACÉ a épousé en première noces Katherine Chauldyère, comme le démontre le contrat de mariage de leur fille Marie MACÉ à Sébastien de LA FOSSE le 10.8.1564 [MC Et. LXXIII/30, selon Notes Robert Descimon sur les teituriers et les drapiers 16e, tiré de GénéaNet, signalé par Christian Minot], alors que le «marchand libraire juré en l’université de Paris» et sa femme stipulent pour leur fille. Catherine Chaudière, vivante en août 1564, est sans doute la mère de Barthélémy qui succédera à son père.
Marguerite Macé serait donc née d’une second lit de Jean Macé, en forçant, vers 1567. Est-elle bien être la mère de Marguerite Petit-Pas née vers 1585 comme l’avançait Jetté, ou doit-on mettre en doute cette filiation?