Acadien de Nation, d’un père gaspésien et d’une mère restigouchoise, il collationne ses ancêtre depuis l’âge de 10 ans. Sa passion a guidée ses études en histoire (Nouvelle France, Moyen âge européen) et en géographie humaine.
Il mène une carrière de journalisme dans la presse écrite (les métiers de journaliste et d’historien sont après tout de proches parents), et il est de retour à l’Acadie Nouvelle (Caraquet, N.-B.) depuis janvier 2015, après 15 ans biens sonnés au pupitre photo de La Presse Canadienne à Toronto. C’est donc un retour à ces racines personnelles et professionnelles.
Il est l’auteur du Dictionnaire généalogique des familles Arsenault (Ste-Foy, 2000), et de plusieurs articles dans les Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, dont un dans le dernier numéro (hiver 2015) à propos d’une famille écossaise, les MacIntyre de Barra établis à Charlo (N.-B.) en 1798.
Il poursuit depuis plusieurs années la généalogie en France et en Europe des migrants en la Nouvelle-France ou plus tard en la baie des Chaleurs, grâce surtout aux ressources anciennes numérisées, mais aussi sur les lieux quand les moyens le permettent.
Parmi ses 9 premières générations d’ancêtres, il descend en grande partie de colons français (au Québec et en Acadie), mais aussi (dans l’ordre) irlandais (Burns, MacDunn), écossais (MacIntyre, McKenzie, McLean), hollandais (Elsliger = van Esseling[en]), métisse (Boudot-Mi'kmaque à Gaspé), anglais-huguenots (Crouzet-Crisp) et de cet inconnu nommé Joseph Acdène (sic Ogden?) sans doute soldat des troupes anglaises pendant la conquête, père de Jean Acdène dit Dassylva (qui pris le nom de sa mère).