Aubin LeCOUFFLE

 
 





Signature d’Aubin Lecouffle au mariage de sa soeur Louise en 1726.


Il y a déjà plus d’un quart de siècle depuis que Soeur Blanche LeCouffe nous livrait ses découvertes sur l’ancêtre. L’ouvrage épuisé donne beaucoup de renseignements sur la généalogie de la famille à Saint-Pierre-Langers. Comme les fouilles ont été effectués par personnes interposées, plusieurs erreurs se sont glissées. Grâce aux avancées technologiques depuis, et la bienveillance de la direction des Archives départementales de la Manche, nous pouvons aujourd’hui consulter les registres paroissiaux à partir de chez-soi.


Pour les Archives maritimes, c’est grâce aux travaux des bénévoles de Migrations.fr et leurs dépouillements des rôles d’Armement de Granville, et des fouilles de Henri Yon aux Archives maritimes de Cherbourg, que l’on peut bénéficier de ces sources, dont la carrière maritime de l’ancêtre Aubin LECOUFLE, ainsi de celle de ses frères.


De son côté, Louise BOUDEAU méritera sa propre étude, car cette femme mystérieuse semble cacher des origines métisse. Si vous être descendant matrilinéaire de cette pionnière (de mère en mère), je vous prie de me contacter. Voir la descendance matrilinéaire en construction de cet ancêtre dans le but de trouver des candidats ou candidates à une analyse d’ADN mitocondrial, afin prouver (ou infirmer) l’hypothèse insinuée par Victorin Mallet (ouvrage ci-contre) au sujet des soeurs Boudeau. C’est un ouvrage à lire absolument si vous avez des ancêtres dans la Baie des Chaleurs d’avant la Conquête. Il dresse un étonnant portrait du mode de peuplement dans ces régions en marge des gouvernements de la vallée du St-Laurent et de l’Acadie du Sud. Loin de l’autorité établie, l’établissement s’effectue plus naturellement en prenant des femmes indigènes, un peu comme l’on fait les conquistadors en Amérique latine deux siècles auparavant. Aujourd’hui avec les avancées en généalogie génétique, il est possible de vérifier si Louise Boudeau était la fille d’une Européenne ou d’une Amérindienne. L’ADN contenu dans l’enveloppe du noyau (mitocondrial, 56 000 bases) n’est transmis que par la mère inchangé sauf si mutation.

 

Aubin leCouffe & Louise Boudeau

Aubin Lecouffle, marin pêcheur, déserteur et pionnier


La naissance Aubin Lescoufle, sûrement en 1706, est introuvable. Sur une période relativement complète de l’état civil, le registre de 1706 a été perdu. Il ne se trouve ni aux Archives communales, ni aux Archives départementales. On connaît bien la date de naissance de son frère Louis, le 29 mars 1704. Puis, sur les trois années que Aubin et Louis naviguent (ensemble avant la mort du dernier à Terre-Neuve en 1731), Aubin se donne toujours deux ans de moins que son frère à l’embarquement. Donc ça laisse peu de place à l’erreur. Il est le douzième enfant du lit de Julien Lescoufle & Maurie Dauphin, mais plusieurs n’ont pas survécu.


Maurie Dauphin, orpheline de père à très bas âge, a été élevée par le deuxième mari de sa mère, Jean SABOT, matelot. C’est sans doute ce personnage qui donnera le goût de l’aventure à ses petits-fils «en loy».


Les Frères matelots

Il y a d’abord Jean LESCOUFLE, qui fait quelques voyages jusqu’en 1725, date à laquelle il a déjà ses classes de matelot. Mais comme les rôles d’embarquement à Granville ne sont tenus qu’à partir de 1722, on ne connaît que son dernier voyage. Il navigue peut-être de Saint-Malo, ou même de Brest dans la Marine. Il semble rester à Saint-Pierre en l’année 1724, puisqu’il épouse Catherine Geslin le 8 juillet de cette année. Il s’embarque à Granville au printemps 1725 pour le Banc, à partir de Granville. Il est possible qu’il reprenne la mer par la suite, puisqu’il ne semble pas avoir d’enfant qui survivent. Un seul enfant, une fille baptisée et enterrée le même jour en 1730, apparaît dans les registres.


Suivant Jean, il y a Pierre LESCOUFLE déjà cité plus haut. Contrairement à ce que propose Blanche LeCouffe, il n’est pas marié à Jeanne Fontaine. Ce mariage filiatif indique clairement ce Pierre fils de Jacques Lescoufle Havaudière & Françoise Auger, et non le fils de Julien. En fait comme son frère Robert quelques semaines plus tôt,  il prend une épouse Anne REUELLE à Saint-Michel-des-Loups le 16 février 1730 (au verso de la page su mariage de son frère). Il installe sa femme à St-Pierre et saison approchant, se dirige à Granville. Trois semaines après son mariage, soit le 8 mars, il s’embarque pour Gaspé pour de bon. Il ne revidra plus. A-t-il regretté ce mariage? À partir de 1731 dans le registre matricule du matelot, Pierre est indiqué « Resté à Gaspé », sans mention qu’il soit déserté. En fait, il semble donc toujours au service des armateurs puisque toujours inscrit au registre année après année jusqu’en 1736, où la mention « idem » (resté à Gaspé) est remplacé en 1736 par la note: « Mort s’étant noyé à la Grande-Rivière côte du Canada Le 10 8bre. Suivant la déclaration de Charles Blondel me d’habitation au dire duquel il étoit joint le travail de son bâtiment. » Il est fort probable que Aubin soit encore témoin de ce drame. Pendant son absence, les frère Robert et Jean  Lescoufle semble s’occuper de leur belle-soeur délaissée. La nouvelle de la mort de Pierre semble atteindre Saint-Pierre à l’été ou l’automne 1737. Le 16 janvier suivant, en présence de Robert et Jean Lescoufle frères, Anne Reuelle veuve de Pierre Lescoufle épouse Julien Poirier à Saint-Pierre.


Aubin et son frère Louis s’engagent de leur côté pour la première fois sur LA PAIX, un morutiers en partance de Granville en 1729 en direction de Gaspé. Il naviguera avec son frère jusqu’à sa mort sur les côtes de Terre-Neuve en juin 1731. On peut penser qu’il a été témoin de ce décès, comme celui de Pierre 5 ans plus tard. (Voir les Carrières maritimes des frères Lecoufle). La mort de Louis ne ralentit pas les ardeurs d’Aubin. Il fait la traversée année après année, soit à Terre-Neuve ou à Gaspé, jusqu’à ce qu’il décide de rejoindre son frère en 1735. À la fin de l’été, après avoir servi ses maître pendant toute la campagne, Aubin LECOUFFLE a Déserté à Gaspé lors du départ du Nre. Il n’y a plus de trace de lui dans les registres matricules des maris. Tout semble indiquer qu’il n’y a pas de grandes conséquences à ce geste pour son auteur. Premièrement, outre le pot-de-vin touché au départ (avance sur le salaire éventuel, qui est généralement laissé à sa famille en sécurité), il déclare forfait de sa part des prises qui revient à l’équipage. En contrepartie, il ne se soustrait qu’au voyage de retour et au déchargement du navire. L’équipage touche généralement 1/5 des prises (valeur du poisson ou des marchandises).  Chaque matelot touche selon son grade une part de ce lot (généralement une part pour le matelot moyen, 1,5 ou 2 parts pour les officiers, 2 ou 3 parts pour le Capitaine, et un quart ou une demi part pour les novices selon l’âge. Les très jeune mousses ne touchent généralement rien, mais sont nourris logés et prennent du métier. Donc en principe, la désertion de l’un profite au reste de l’équipage qui a une part de moins à payer (après avance).


Autres ÉTUDES:

  1. PuceJean CHAPAIS

  2. PuceSimon SAVARD

  3. PuceMarie HORDOUILLE

  4. PuceMartin PRÉVOST

  5. PuceGaston GUAY

  6. PuceNicolas DURANT

  7. PuceAnne THOMAS

À venir:

  1. PuceJean Louis ANCTIL

Sur la piste de:

  1. PuceJean CANUET

  2. PuceNicolas LeMIÈRE

  3. PuceCharles POITEVIN

 

Les LESCOUFLE de Saint-Pierre-Langers

Il y a deux branches principales de Lecouffle ou Lescoufle dans la paroisse de Saint-Pierre-Langer. La première est établie au village de La Havaudière, et la nôtre au Village de La Séguinière. Ces lieux dits sont clairement identifiés sur le cadastre Napoléonien [Archives de la Manche]:

Selon les images satellites, le lieu n’a perdu que quelques logis depuis.

Il n’existe aucun indice qui permet de relier ces deux branches. Elles semblent se rejoindre au moins avant 1550. Julien LESCOUFLE-Séguinière, aïeul présumé de la branche Séguinière, a épousé sa femme dans la paroisse voisine de Saint-Aubin-des-Préaux, 39 ans avant le premier registre conservé. Donc impossible de découvrir ses parents. Il y a quelques scénarios possibles certes, mais pas assez d’éléments pour s’avancer. Les deux branches se rapprochent seulement à partir du mariage de Julien avec Maurie DAUPHIN, soeur présumée de Michelle DAUPHIN femme de Georges LESCOUFLE-Havaudière.

Déchargement de la morue, plage à Percé, v1925. Musée McCord, MP-0000.25.609

Brillant par son absence

Aubin ne laisse aucune trace en Gaspésie de sa présence, ni de son mariage, de son vivant. Son beau-frère Jean Chicoine est cité vers 1748 à la Pointe-Saint-Pierre signalant les déplacements de vaisseaux anglais relayés au Conseil à Québec. Il semble bien épouser Louise Boudeau vers 1740.


La première mention de la famille sur place est effectué après le décès d’Aubin, au recensement Du Calvet de 1761, trouvé dans les Archives du Massachussetts par Régis Brun. Ceci deux ans après la destruction des postes côtiers par les troupes de Wolfe.

La destruction du Barachois

Ces années sont très tumultueuses pour les habitants de la Baie-de-Chaleurs. Après la chute de Louisbourg, les Anglais préparent la prise de Québec, le général Wolfe opère son Passage en Gaspé en septembre 1758. Ses hommes détruisent tous les établissements de pêche et habitations des côtes de la Gaspésie.


Parmi les victimes ou prisonniers, il faut peut-être compter les présumés beaux-frères Aubin LECOUFFLE, Jean CHICOINE dit COTTON et Jean BOUDEAUX. D’abord, leurs épouses sont toutes veuves en juillet 1761, avec de jeunes enfants. On sait maintenant que Aubin LeCouffe a bénéficié d’un entraînement militaire dans la Marine, ce qui n’est pas le cas de tous les navigants. Donc naturellement, Aubin a dû jouer un rôle, peut-être important, dans la milice locale. Il est impossible de l’affirmer, mais Aubin semble avoir périt lors de l’attaque des établissements du Baracois de la Malbaie, lors d’une tentative de défense, finalement futile.

© Denis J. Savard, 2010

v1.0  21 octobre 2010 01:23 HE

Mimeault & Sinnett [Gaspé au fil du temps 2009] estiment que Jean Chicoine aurait été du nombre des 46 ou 47 prisonniers de Boscawen. Peut-être. Mais c’est moins sûr pour sa femme et ses trois enfants comme ils l’avancent. Même si libérés, c’est peu de temps pour se revenir s’installer au Barachois en temps de guerre. En fait, tout porte à croire que s’ils survivent l’attaque des établissements, Jean Chicoine, Aubin Lecouffle et Jean Boudeaux sont fait prisonniers et périssent pendant le voyage, alors que les femmes et les enfants se réfugient dans les bois. La nouvelle de leur décès aura sûrement atteint le Barachois avant le recensement de Du Calvet en juillet 1761, s’ils sont morts en mer. Il y a sans doute plusieurs autres possibilités bien entendu. S’ils pêchent ensemble par exemple, un naufrage aurait pu sceller leur sort avant 1761. Mais comme les morutiers ne viennent plus dans la région depuis la saison 1755 [Dernier passagers de Granville pour Gaspé], cela semble moins vraisemblable.


Les veuves semblent à peu près rester là où leurs familles étaient établies, sauf Marie Boudeau qui vient rejoindre sa soeur au Barachois, à partir de la pointe Saint-Pierre. Comme ils existe au Barachois un espace voué à l’agriculture [M&S p. 84], les femmes semble donc reprendre ces terres à leur profit pour nourrir leurs enfants, une fois les seigneurs Revol et Thibodeau volatilisés.


Et ces mystérieux BOUDEAUX...

Les éléments en présence semblent suggérer que la famille BOUDEAU (parfois BAUDOT) est établi dans le secteur de Barachois depuis plusieurs années. Chicoine est installé à la pointe Saint-Pierre depuis au moins 1746, alors Aubin Lecouffle semble s’installer au Barachois après son mariage vers 1740.


Raymond Trudel (N.-B.) qui effectue des recherches sur les Chicouane, fait état de la présence de l’ancêtre Jean à la pointe Saint-Pierre selon des écrits contemporains, dans une discussion sur la famille Boudeau sur les forums de Ancestry:


«Des écrits qui date de novembre 1746 mentionne que Jean Chicouanne habitant de la Pointe St-Pierre a aperçu en revenant de Québec, en tournant le Forillon, un navire anglais dans la baie de Gaspé, il indique la position du navire portant son bord au Nord-Nord Ouest, le vent au Sud-Est, un dénommé Arbour de la baie de Gaspé lui précise que personne n'est monté a son bord, que le navire arborait un pavillon blanc [alors pavillon royal français] et qu'il était ancré le soir au Barachois St-Jean (Douglastown-Haldimand), Jean Chicoine indique qu'il n'était pas assez près pour distinguer le nombres de canons, que le navire jaugeais 250-300 tonneaux. Lorsque le navire s'approchait de terre il tirait un coup de canon de temps a autre.


En avril 1747, étant a la chasse à la Pointe St-Pierre il (Jean Chicoine) aperçu un goélette 3 mats louvoyant dans la baie de Malbaie,il est resté 3 heures a observer les manoeuvres de ce navire qui entrait dans l'anse de la Pointe St-Pierre pour virer de bord et repartir vers la Pointe-à-la-Baleine», il affirme que c'est sûrement un corsaire anglais.»


Le père des BOUDEAUX, dont l’existence a échappé aux annales, aurait donc épousé une Amérindienne de la région, sans doute vers 1710-1715. Est-il lui-même issu d’une famille établie dans la Seigneurie de Pierre Denys de La Ronde avant d’être décimée en 1690 par l’amiral Phipps?


Parmi les deux fils de feu Jean Boudeaux cité au recensement de 1761 ci-haut, il y a peut-être François Boudeau qui lui intérer la communauté micmac à Ristigouche. Deux de ses filles dites «sauvages» (peuvent être déjà 7/8e amérindiennes) épousent Pierre & Romain Anagoëtz, et la troisième Marc Larocque. Certains collègues rapportent que les Louisotte devenus Wizotte, famille très présente à Listugj (Restigouche) aujourd’hui, seraient issus d’une famille Boudeau dit Louisotte. Mais cette piste n’a pas été vérifiée.

 

Si c’est le cas, il y a une étude intéressante d’ADN-Y à mener. Comme le nom Boudeau s’est éteint, on ne pourra pas comparer par exemple les Wizotte et les Boudeau, mais si la souche est avérée, les origines de l’ancêtre peuvent toute de même être analysés. Quand les cousins français se mettront à la sauce, on pourra peut-être établir le lieu d’origine précis de cette famille.


Si Louise Boudeau finit ses jours à Cascapédia, Marie Boudeau pour sa part restera ancrée autour de Percé jusqu’à sa mort en 1805. Signe peut-être d’un attachement à sa région natale.


Rappel, si Marie ou Louise Boudeau est votre aïeule matrilinéaire, votre participation au test d’ADNmt est nécessaire pour trancher sur l’origine métisse possible de ces deux ancêtres. Votre lignée dans ce cas devrait se trouver en partie dans cette base de descendance. Veuillez m’en avertir, je défrayerai les frais de laboratoire au besoin.

BAUDEAU ou BOUDEAU?

Cette question est rapidement résolue à l’examen des documents d’origine. Il faut ici faire abstraction des sources secondaires (les imprimés) qui souvent propagent les mêmes erreurs d’une génération d’auteurs à l’autre.


Sur les neuf mentions recensées dans les actes contemporains à la période dans les registres paroissiaux, le nom BODEAU n’apparaît qu’une seule fois. Et ce n’est pas par hasard, ni sans conséquences.

C’est à l’occasion du mariage de Aubin LeCOUFFE (fils de feu Aubin & de Louise BODEAU) avec Barbe DUPUIS en 1773, à Saint-Jean-Port-Joli. Comme le foyer des BOUDEAUX est à 640 km du lieu du mariage, on peut comprendre que le célébrant n’est pas familier avec ce patronyme. Bref,

Cette mention a été une mesure d’étalon,

mais au fond elle n’était qu’une simple exception.

Cette paroisse dans le giron de Québec est naturellement mieux connue des généalogistes qui nous ont précédés : C’est ce qui explique que cette version d’exception s’est propagée. Toutes les mentions inscrites dans la Baie des Chaleurs de l’époque des soeurs sont sous la forme BOUDEAU ou BOUDOT.


Les 9 mentions originales BOUDEAU/BODEAU (et occasions manquées) :

31.7.1761 Rc Du Calvet, Barachois de la Mal-Bay, Veuve Aubin Le Caufle, Veuve Jean Sicoin (Chicoine).

31.7.1761 Rc Du Calvet, St-Jean (Percé), Veuve Jean BOUDEAUX

11.1.1773 m Aubin LeCouffe (jr), Louise BODEAU (St-Jean-Port-Joli)

1.4.1774 Rc Bonaventure, Madame D’Egoufle native de l’endroit

2.5.1774 m Louise LeCouffe, Louise BOUDEAU

26.8.1774 m Aubin Chicoine, Marie BOUDEAU

22.4.1776 m Marie LeCouffe, Loüis BOUDEAU veuve

1.8.1776 Mn & grande mère de Marguerite Bernard, Louïse BOUDEAU

25.7.1781 m Jean Baptiste LeCouffe, Louïse BOUDEAU.

18.1.1787 Marie BOUDEAU Mn de Geneviève Alaigre à Percé.

10.11.1795 s Louise Legouffe (sic), 75 ans, veuve feu Aubain Legouffe.

29.9.1806 s Marie BOUDOT


À celà il pourrait s’ajouter les BOUDOT de Ristigouche et Rivière-à-l’Anguille, s’ils descendent bien de cette branche.

Barachois

États de services de
AUBIN LECOUFLE (1706-1759)
Taille moyenne, poils châtains, Fils JULIEN & Maurie DAUPHIN

12/03/1729            Novice sur LA PAIX pour GASPÉ
                                Désarmé Granville 11/07/1730*

19/05/1730            Novice sur LA PAIX pour LE BANC 
                                Inscrit sous «Robert l’Ecoufle»

07/03/1731            Matelot sur LE JOSEPH DE COAQUIN pour LE BANC
                                Désarmé Granville le 28/10/1731 (n32)

20/03/1732            Matelot sur LE JOSEPH DE COAQUIN pour LE BANC
                                Désarmé Granville le 30/11/1732 (n32)
16/03/1733            Matelot (cl.9) sur LA PAIX pour GASPÉ
                                Désarmé Granville le 26/10/1733 (n4)
Avril 1734               Envoyé à BREST : Service militaire, sert 5 mois et 20 Jours.
                                Matelot (cl.11) sur LE NEPTUNE. Retour le 10/11/1734.

26/03/1735            Matelot sur LA PAIX  pour GASPE (n42) 
                                Retour le 15/10/1735 (n34) Sans lui car:
Déserté à Gaspé au départ du navire (fin été 1735)

http://www.migrations.fr/lapaix1729.htmhttp://www.migrations.fr/lapaix1730.htmhttp://www.migrations.fr/lejosephdecoaquin31_1731.htmhttp://www.migrations.fr/lejosephdecoaquin39_1732.htmhttp://www.migrations.fr/lapaix1733.htmhttp://www.migrations.fr/lapaix1735.htmhttp://savart.info/migrations/Migration/lecoufle-navigants.html#widget1shapeimage_6_link_0shapeimage_6_link_1shapeimage_6_link_2shapeimage_6_link_3shapeimage_6_link_4shapeimage_6_link_5

Pierre

du Calvet

1735-1786

Grande-Rivière

Pabos

Percé

Les registres paroissiaux de Saint-Pierre-Langer sont conservés depuis 1586. Il y a cependant de nombreuses lacunes, et les actes du XVIe siècle sont en latin. Relevé jusqu’en 1750 pour cette étude.

Pte

St-Pierre


Autres ÉTUDES:

  1. PuceJean CHAPAIS

  2. PuceSimon SAVARD

  3. PuceMarie HORDOUILLE

  4. PuceMartin PRÉVOST

  5. PuceGaston GUAY

  6. PuceNicolas DURANT

  7. PuceAnne THOMAS

À venir:

  1. PuceJean Louis ANCTIL

Sur la piste de:

  1. PuceJean CANUET

  2. PuceNicolas LeMIÈRE

  3. PuceCharles POITEVIN

 
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#6
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#14
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#23
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#14
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#6
http://savart.info/migrations/lecoufle/goupil.htm
http://savart.info/migrations/lecoufle/guillouet.htm
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2
http://savart.info/migrations/lecoufle/guillouet.htm#3
http://savart.info/migrations/lecoufle/guillouet.htm#3
http://savart.info/migrations/lecoufle/guillouet.htm
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2
http://savart.info/migrations/lecoufle/lecoufle.htm#2